Du temps ou de l’argent, de quoi les associations ont-elles vraiment besoin ?

Dans un monde où les besoins sociaux et environnementaux ne cessent d’augmenter, donner des ressources à des associations permet de faire la différence !
Faire du bénévolat, c’est une idée qui revient souvent pour avoir plus d’impact. Les entreprises, elles aussi, veulent aider directement sur le terrain.  

Mais, du temps ou de l’argent, quelle est le meilleur moyen pour aider les associations ? 🕐💶

Dans cet article de blog, nous vous partagerons les retours des associations ainsi que des plateformes qui vous aideront à vous engager, vous aussi !

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Leur vécu, la priorité

Pour mieux répondre à ce débat, nous avons été à la rencontre d’associations bruxelloises qui agissent pour des problématiques spécifiques.
Les écouter nous a semblé être la meilleure manière de comprendre vraiment leur vécu.  

Et nous nous sommes rendu compte que chaque association a des besoins différents. Pour certaines ce sont les compétences spécifiques, pour d’autres la visibilité, d’autres encore nous parle d’un projet en particulier sur lequel elles auraient besoin de renfort.  

Nous avons résumé nos apprentissages en 3 points ;  

1️⃣Du bénévolat de long terme

Si vous avez quelques heures à donner, c’est déjà super, Umengo se donne d’ailleurs la mission de partager les offres des associations qui auraient des besoins ! L’aide à court terme peut être la bienvenue pour un projet d’une journée comme le propose Aer Aqua Terra par exemple. Avec cette association vous pouvez ramasser les déchets afin d’assainir des sites pollués. 🚮

Mais le constat est souvent le même ; les associations privilégient une aide sur le long terme pour pouvoir planifier au mieux leur mission. Pensez à la Croix Rouge, ils recherchent constamment des bénévoles qu’ils doivent former - il leur est donc indispensable d’avoir une certaine régularité dans l’engagement de ces personnes.  

Revenons également aux équipes qui veulent faire un teambuilding solidaire en donnant cette journée spéciale à une association qui leur tient à cœur ; une idée super sur le papier mais qui peut se révéler être un cauchemar pour certaines associations. En effet, les petites associations n’ont pas toujours les ressources pour animer des groupes et sont donc démunies face à ce type de demandes qui pourraient être bénéfiques pour leur mission.

Une alternative peut être de donner de son temps régulièrement en faisant du mécénat de compétences. Reconnu par la loi comme une “mise à disposition gratuite, ponctuelle ou régulière, d’un travailleur volontaire au profit d’une association caritative, sur son temps de travail”. Cette pratique permet notamment aux associations de ne pas engager des frais pour des besoins ponctuels d’une expertise. Cette pratique est légère pour les associations qui peuvent créer une relation durable avec les entreprises de confiance. 🫂

En bref, toutes les ressources peuvent être intéressantes à partager aux associations, mais toutes les associations n’ont pas les mêmes besoins. Il s’agit donc de trouver des solutions qui leur conviennent et non l’inverse.

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2️⃣De la visibilité oui, du voyeurisme non !  

Les associations bruxelloises que nous avons rencontré peuvent également avoir besoin de visibilité. Pour elles, il est difficile de se faire une place dans un écosystème où certains grands acteurs sont implantés depuis plusieurs années. Communiquer sur son impact, sa mission et attirer des dons ou des bénévoles n’est pas chose facile. Ce n’est pas une coïncidence de lire un article spécialement dédié à la visibilité sur le site “monasbl.be”.  

Mais ce besoin de visibilité peut avoir des dérives et aboutir à du voyeurisme. Pour les Infirmiers De Rue, le constat est le même ; “Il est assez difficile de faire appel à des bénévoles sur une base ponctuelle dans le cadre des activités d'Infirmiers de rue. Nous travaillons à long terme et dans une relation individuelle avec nos patients, et il est essentiel d'établir une relation de confiance avec les travailleurs de terrain. En outre, nous travaillons avec un public cible peu évident, qui combine de nombreux problèmes de santé physique et mentale et toutes sortes d'assuétudes. Cela nécessite une expérience et une formation professionnelle suffisantes pour apporter une contribution significative.”  

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3️⃣Un besoin financier

Les associations doivent payer des salaires, acheter des matières, communiquer leur mission, bref elles ont des charges importantes. Il leur est donc indispensable de pouvoir se baser sur des fonds réguliers.  

Lors de nos échanges, Teach For Belgium nous évoquait par exemple “Une grande partie de notre financement est liée à des projets spécifiques, tels que la création d'une nouvelle formation pour nos enseignant.e.s débutant.e.s ou le recrutement d'enseignant.e.s en STEM par exemple. Cependant, il est tout aussi important pour nous de mobiliser des fonds destinés à une utilisation plus flexible, à répartir entre différents projets pour atteindre nos ambitions ou encore pour assurer nos coûts structurels (communication, IT,…) - c'est précisément là que réside la grande valeur ajoutée de notre partenariat avec Surveco, en plus de la visibilité qu'ils nous offrent !”

Pour aider au mieux les associations, il leur est donc indispensable de s’appuyer sur des dons. Ces dons permettent aux associations d’avoir un impact à grande échelle, plus de flexibilité dans leur démarche et de donner un vrai sens à votre argent. 💶

Better a créé la première plateforme digitale de mise en relation entre donateurs et associations. Rendant le processus simple, efficace et amusant. Better veut prouver qu'ensemble, nous pouvons faire la différence, dès 5 € par mois. Ils adoptent une vision à 360 degrés en proposant aux associations de créer une courte vidéo qui permet de communiquer sur leur mission !  

Vous pourriez appuyer l’argument que certaines associations perçoivent déjà des subsides ou des donations de la part de grandes entreprises et que tout cela n’est pas très transparent. C’est une des raisons pour lesquelles Surveco collabore avec Better. ✨

Derrière leur catalogue d’associations se cache un travail de titan ; rencontrer les représentant·e·s de ces causes, analyser leurs financements, créer une vidéo de communication et être en contact régulier avec elles. Tout ce travail afin de soutenir leur mission : “éveiller votre passion pour la philanthropie”.  

Surveco participe à son échelle en reversant 5% du montant de vos teambuildings à ses 3 associations partenaires. Vous jouez, vous créez des connections et vous avez un impact sur les associations partenaires. Découvrez-les missions des Infirmiers de Rue, BAOB Brussels et Teach For Blegium par ici.

En fin de compte, la décision de donner de l'argent ou de son temps à des associations dépend de vos préférences personnelles, de vos ressources disponibles et de la cause que vous souhaitez soutenir. A une échelle globale, une combinaison des deux approches peut être la plus efficace pour répondre aux besoins variés des communautés et des causes. Que vous donniez financièrement ou que vous vous impliquiez directement, l'important est de contribuer de manière significative à faire une différence positive dans le monde. Grâce aux dons lors des teambuildings durables, Surveco répond au besoin de fonds réguliers et de visibilité, et vous, que choisissez-vous ?